Jiddu KRISHNAMURTI

La base de la pensée de Krishnamurti est « La vérité est un pays sans chemin ».

J’ai aussi beaucoup aimé un livre de Krishnamurti  « Se libérer du connu »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jiddu_Krishnamurti

Citations

« La méditation est l’un des arts majeurs dans la vie, peut-être ‘’l’art suprême’’, et l’on ne peut l’apprendre de personne : c’est sa beauté. Il n’a pas de technique, donc pas d’autorité. Lorsque vous apprenez à vous connaître, observez-vous, observez la façon dont vous marchez, dont vous mangez, ce que vous dites, les commérages, la haine, la jalousie – être conscients de tout cela en vous, sans option, fait partie de la méditation. »

 « Bien des gens dans le monde sont indépendants, mais très peu sont libres ». Le sens du bonheur

 « On ne peut pas inviter le vent, mais on doit laisser la fenêtre ouverte ». Se libérer du connu

« Entre deux solutions, opte toujours pour la plus généreuse. »

« Pour comprendre le sens de la vie, de ses conflits et de ses douleurs, il nous faut penser indépendamment de toute autorité, y compris celle des religions organisées. »

« Ne laissez pas les mots penser à votre place. Ayez une parole habitée. »

« La méditation est l’art majeur de l’être humain. »

« Le premier pas est le dernier pas. »

« Range le livre, la description, la tradition, l’autorité, et prend la route pour découvrir toi-même. »

Voici un texte de Jiddu Krishnamurt extrait de son livre , « Se libérer du connu »

« La vérité n’a pas de sentier, et c’est cela sa beauté : elle est vivante. Une chose morte peut avoir un sentier menant à elle, car elle est statique. Mais lorsque vous voyez que la vérité est vivante, mouvante, qu’elle n’a pas de lieu où se reposer, qu’aucun temple, aucune mosquée ou église, qu’aucune religion, qu’aucun maître ou philosophe, bref que rien ne peut vous y conduire — alors vous verrez aussi que cette chose vivante est ce que vous êtes en toute réalité : elle est votre colère, votre brutalité, votre violence, votre désespoir. Elle est l’agonie et la douleur que vous vivez.

La vérité est la compréhension de tout cela, vous ne pouvez le comprendre qu’en sachant le voir dans votre vie. Il est impossible de le voir à travers une idéologie, à travers un écran de mots, à travers l’espoir et la peur.

Nous voyons donc que nous ne pouvons dépendre de personne. Il n’existe pas de guide, pas d’instructeur, pas d’autorité. Il n’y a que nous et nos rapports avec les autres et avec le monde. Il n’y a pas autre chose. Lorsque l’on s’en rend compte, on peut tomber dans un désespoir qui engendre du cynisme ou de l’amertume, ou, nous trouvant en présence du fait que nous et nul autre sommes responsables de nos pensées, de nos sentiments, et de nos actes, nous cessons de nous prendre en pitié. En général, nous prospérons en blâmant les autres, ce qui est une façon de se prendre en pitié. »

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