C’est Les bains dérivatifs ont la capacité d’éliminer l’inflammation chronique basse, ils boostent notre système immunitaire en faisant travailler les graisses brunes qui réparent et régulent tout notre organisme en permanence.
L’action du buis, notamment, est extraordinaire, aussi bien en usage externe qu’interne. Dans les très rares ouvrages de phytothérapie où l’on en fait mention, on indique, souvent assez vaguement qu’il « passe » pour avoir telle propriété, qu’il « posséderait » telle vertu. Ces réserves et ce conditionnel démontrent tout simplement que les auteurs de tels propos n’ont jamais tenté l’expérience du buis car leur prudence aurait fait place à une attitude autrement affirmative.
Les bons et regrettés docteurs H. Leclerc et Artault de Vevey (dont la fille devint d’ailleurs harmoniste) avaient, eux, largement expérimentés le buis (surtout) par voie interne, et ils étaient catégoriques quant à son extraordinaire valeur et à sa polyvalence. Ils ont évoqué des « résultats remarquables » dans le vas de fièvres intermittentes, d’angiocholite pourtant réfractaire à la quinine, une action de drainage sur les voies biliaires et intestinales, des propriétés cholagogues, fébrifuges, sudorifiques.
Par ailleurs, ces médecins ne semblent pas avoir expérimenté le buis en usage externe, et c’est pourtant là que son action est la plus spectaculaire et la plus probante.
En ce qui concerne particulièrement le docteur H. Leclerc, celui-ci a relaté comment, durant la première guerre mondiale, alors qu’il était blessé, grelottant de fièvre, que sa blessure s’était infectée et qu’il n’y avait rien pour le soigner, il avait demandé qu’on lui fasse bouillir une poignée de feuilles de buis dans un litre d’eau, décoction – à laquelle il trouva un goût affreux, et qu’il absorba dans le moins de temps possible, ce qui provoqua une abondante transpiration, et le sauva.
Voilà donc déjà une utilisation possible de buis, après ébullition prolongée (10 à 15 minutes) de 40 g de feuilles. Cela se boit en l’espace d’une heure à une heure et demie, et, avec le concours de couvertures, bouillottes, etc., la transpiration ne tarde pas à survenir. En cas de grippe, refroidissement,infection quelconque, un résultat favorable est le plus souvent assuré.
Parfois, il suffit de prendre ce litre de décoction dans le courant de la journée, et de répéter cela une fois ou deux par semaine, tant que dure une infection interne (urinaire, génitale, intestinale, par exemple). C’est également un actif antiparasitaire.
Si le buis arrive maintenant en tête des remèdes naturels, c’est qu’il s’est révélé être un redoutable adversaire des virus. Aucun remède de synthèse ne peut lui être comparé pour son activité absente de toute nocivité. Dans la plupart des affections virales, à commencer par la grippe, il y a intérêt à faire intervenir le buis intensivement (un litre par jour, et même plus, si possible). On l’utilise aussi bien pour l’extérieur qu’en usage interne. Ainsi, en cas de maladie virale éruptive (zona, herpès, mycoses diverses, etc.), il faut, à la fois, boire de la décoction de buis et l’utiliser aussi en lotion, bains ou compresses.
En usage externe, il a été très souvent remarqué combien l’effet est plus spectaculaire encore. Cette même décoction pouvant servir au pansement d’ulcères et de toutes plaies infectées, le résultat apparaît très vite. On est généralement stupéfait, en retirant la compresse, de constater qu’il n’y a plus aucune trace de plus, que les tissus sont propres et nets, et que la cicatrisation apparaît d’autant plus rapidement que l’ont fait souvent alterner ces compresses avec des cataplasmes d’argiles.
Quand la localisation le permet (pied, coude, main), ne pas hésiter à compléter le traitement avec des bains tièdes de cette même décoction de feuilles de buis.
Tout observateur impartial, témoin d’un traitement de cette sorte, ne peut que reconnaître la valeur de certains remèdes naturels.
Reproduit avec l’aimable autorisation des ayants-droit de Raymond Dextreit.
Extrait du livre “L’argile qui guérit” :
buis médicinal: 4 remèdes naturels et leurs bienfaits
Le buis (Buxus sempervirens, Célastracée) est un arbuste à feuilles persistantes et à odeur caractéristique, appartenant au genre Buxus et à la famille des Buxacées.
Le buis est utilisé en phytothérapie pour ses feuilles séchées (Folium buxii) et parfois l’écorce de la racine.
Au XIIéme siècle Hildegarde de Bingen (1098-1179) bénédictine mystique, compositrice et botaniste, le recommande contre la variole.
Mathias de l’Obel (ou de Lobel ou Lobelius ou Delobel) médecin et botaniste flamand (1538-1616) de la Renaissance, le préconisait comme anti diarrhéique et fébrifuge.
Les médecins du XVIIème siècle comme dépuratif et en application locale contre la calvitie et le siècle suivant comme fébrifuge.
François-Joseph Cazin (1788-1864) médecin français, auteur du: “Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes”, conseille le buis, en mettant à profit les qualités dépuratives et sudorifiques du buis. Ce médecin recommandait l’utilisation du buis comme remède contre les rhumatismes, la goutte, la calvitie et les maladies de peau. Le buis fut même utilisé dans le traitement de la syphilis.
Henri Leclerc (1870-1955) médecin français et grand historien de la phytothérapie, considèrait le buis comme cholagogue, laxatif, sudorifique et utile dans les fièvres intermittentes en teinture (4 g /j).
Le buis
Le buis est une plante ornementale dont le feuillage vert foncé de forme ovale est persistant. Cet arbuste touffu appartenant à la famille des Buxaceae dégage un parfum caractéristique et donne des fleurs jaunes verdâtres sans pétales apparentes. Le moment de sa floraison se situe vers le mois de mars. La taille d’un buis arrivé à maturité est comprise entre 6 à 10 m. Le fruit du buis est formé d’une capsule à trois cornes, en forme d’outre. De par la dureté de son bois à grain fin, cette espèce intervient dans la menuiserie, la gravure, la tournerie et la sculpture. Décorative par excellence, cette plante est exploitée pour ses vertus médicinales depuis l’Antiquité et la Renaissance pour remédier à la calvitie.
Buxus sempervirens
Le Buxus sempervirens est riche en alcaloïdes, dont la buxine et la vitamine C. Il contient également une quantité importante de tanins. Pour bénéficier des qualités de cet arbuste, les utilisateurs sèchent ses feuilles et la boivent en infusion. Le Buxus sempervirens possède une saveur légèrement amère et persitante. Certains l’intègrent dans l’eau de bain pour les mains et les pieds, d’autres profitent de ses qualités thérapeutiques en compresse. Ses feuilles sempervirentes font du buis le symbole des jours des rameaux pour les chrétiens. Le nom du buis vient du terme grec « pulknos » qui veut dire dense. Pour bien se développer et être à la hauteur de cette réputation, l’arbuste doit être planté dans les endroits non exposés au froid intense
Propriétés et bienfaits du buis
Le buis est une véritable plante médicinale dont les vertus sont énormes. Fébrifuges et sudorifiques naturels, ses feuilles atténuent rapidement la fièvre en décoction. Par ailleurs, le buis est un excellent anti-inflammatoire, qui a une action bénéfique sur les voies urinaires. Ses propriétés sont exploitées pour rectifier l’hyperacidurie et combattre les éruptions cutanées. Buxus sempervirens possède de réels pouvoirs pour la stimulation de la circulation sanguine. Son utilisation est indiquée pour favoriser la fonction de la vésicule biliaire et pour traiter les problèmes d’épilepsie. C’est aussi un puissant anti-rhumatismal et un substitut efficace de la quinine.
Précautions d’utilisation du buis
L’emploi du buis en traitement des maux doit faire l’objet d’une extrême prudence. Son utilisation excessive peut avoir des effets inverses sur l’organisme, en devenant toxique pour dernier. Du fait de la présence de la buxine dans ses feuilles, cette espèce ne convient pour une administration chez les enfants de moins de deux ans et durant la gestation. Par ailleurs, ses graines et son écorce renferment des alcaloïdes stéroïdiques, qui peuvent provoquer des troubles plus ou moins graves. Les effets secondaires du buis vont de simples tremblements et vertiges à la paralysie spinale, en passant par les diarrhées et les vomissements.
Résumé du livre « Glucose révolution » de Jessie Inchauspé
L’auteur a eu l’idée de ce livre car elle travaillait dans une société Californienne qui démarrait une étude sur les réactions de l’organisme des non-diabétiques à leur alimentation. Elle a alors immédiatement demandé à y participer. On lui a installé un capteur de glucose, ainsi elle pouvait vérifier son taux de glucose tout au long de la journée.
Elle s’est mise à vérifier son taux de glucose à chaque fois qu’elle faisait du sport, qu’elle se réveillait, qu’elle se couchait et notait toutes ses expériences. Son hypothèse était que l’alimentation, l’exercice physique influencent la glycémie selon un ensemble de règles. Assez rapidement, elle a observé des résultats étonnants en fonction de ce qu’elle avait mangé. Elle a pris conscience qu’elle pouvait établir un lien entre son état mental et son taux de glucose, ses fringales étaient liés à sa glycémie et elle en est arrivée à la conclusion que pour se sentir au mieux de sa forme, elle devait éviter les gros pics et les gros creux de glycémie, c’est ainsi qu’elle s’est décidée à tout mettre en œuvre pour lisser la courbe de sa glycémie. Cette découverte a transformé sa santé. Elle s’est débarrassée de problèmes psychologiques, les fringales ont diminué et quand elle se réveillait elle était en pleine forme.
Premièrement, il n’y a pas que le glucose qui compte, certains aliments peuvent n’avoir aucun impact sur notre glycémie, mais ils sont très mauvais pour notre santé. Par exemple l’alcool ne crée pas de pic de glucose car il accable notre foie qui se retrouve incapable de libérer le glucose dans le sang. On ne voit pas de pic, mais en interne d’autres problèmes sont déclenchés.
Notre santé dépend aussi de nombreux paramètres comme le sommeil, le stress, le sport, les liens affectifs, les soins médicaux.
Mais la bonne nouvelle, c’est que lorsque nous lissons la courbe de notre glycémie, nous le faisons en parallèle pour celle du fructose et celle de l’insuline parce que le fructose existe en combinaison avec le glucose et l’insuline est produite par notre pancréas en réaction au glucose.
Le contexte aussi est essentiel. Tout est relatif, les pâtes avec des fibres sont bonnes par rapport aux pâtes ordinaires, mais elles sont mauvaises par rapport aux légumes. Pour la glycémie 10 minutes activité physique modérée après un repas réduisent le pic de glucose associé.
Pourquoi aimons nous autant le sucre c’est parce que lorsque nous mangeons sucré, notre cerveau libère une substance chimique qui s’appelle la dopamine qui nous rend addict.
L’agence nationale de santé publique nous dit que la glycémie à jeun (qui correspond à notre taux de glucose le matin au lever avant de manger) est dite normale lorsqu’elle se trouve entre 60 et 100 mg/dl. Au-delà on parle de pré-diabète (entre 100 et 126 mg) et de diabète de type 2 au-dessus de 126 mg.
Des études montrent que la fourchette idéale pour la glycémie à jeun se situerait entre 72 et 85 mg/dl taux au-dessus duquel la probabilité de développer des problèmes de santé commence à augmenter. L’agence nationale de santé publique nous dit aussi que notre glucose ne devrait pas dépasser 140 mg/dl après avoir mangé, mais là encore, ce qui est normal n’est pas forcément optimal, l’idéal est d’éviter une augmentation de plus de 30 mg/dl après un repas. L’objectif est d’éviter les pics, car c’est la variabilité causée par les pics qui pose le plus de problèmes.
Une fois arrivée dans la cellule, le glucose va être transformé en énergie par le biais des mitochondries sorte de petites centrales électriques. Tant que la quantité d’énergie fournie correspond à la quantité d’énergie nécessaire pour faire fonctionner le corps, tout va bien. Mais lorsque nos mitochondries sont saturées, elles ne parviennent plus à convertir efficacement le glucose en énergie, nos cellules sont affamées, ce qui provoque un dysfonctionnement des organes. A ce moment là, de minuscules molécules sont libérées qui s’appellent les radicaux libres. Ils sont un véritable fléau. Ils abîment tout ce qu’ils touchent. Ils brisent et modifient au hasard notre code génétique, notre ADN créant des mutations qui activent des gènes nocifs capables par exemple de conduire à l’apparition d’un cancer. Les radicaux libres perforent les membranes des cellules et transforment les cellules saines en cellules abîmées. En temps normal les cellules sont capables de gérer la présence d’une quantité modérée de radicaux libres mais si les pics se répètent notre organisme se retrouve en état de stress oxydatif.
Le stress oxydatif est à l’origine des maladies cardiaques, du diabète de type 2, du déclin cognitif et du vieillissement en général. Plus nous chargeons notre organisme en glucose, puis le phénomène de glycation s’opère. Une fois glyquée, une molécule et définitivement abîmée de la même façon qu’une fois qu’un toast grillé est impossible à détoaster. Les effets sur le long terme des molécules glyquées vont des rides au cataractes, en passant par les maladies cardiaques et la maladie d’Alzheimer.
Les molécules de fructose provoque une glycation 10 fois plus rapide que celle de glucose générant ainsi beaucoup plus de dégâts, c’est une nouvelle illustration du fait que les pics lié à la consommation d’aliments sucrés comme les gâteaux contenant du fructose nous font vieillir, plus vite que les pics liés à la consommation de féculents comme les pâtes.
L’association radicaux libres, stress oxydatif et glycation entraîne une inflammation généralisée dans l’organisme. L’inflammation peut être aussi provoquée par l’alcool, le tabac, le stress ou le syndrome de l’intestin perméable. L’inflammation chronique est à l’origine de la plupart des maladies comme les AVC, les maladies respiratoires, les problèmes cardiaques, les cirrhoses, l’obésité et le diabète. La bonne nouvelle est qu’une inflammation qui limite les pics de glucose, réduit aussi l’inflammation et par contre par voie de conséquence le risque de contacter l’une ou l’autre de ses maladies.
Il est donc essentiel pour notre santé d’éliminer le plus rapidement possible l’excès de glucose de notre sang afin de limiter la formation de radicaux libres et le phénomène de glycation.
Lorsque notre glycémie augmente, notre pancréas va secréter une hormone qui s’appelle l’insuline dont le rôle est de placer l’excès de glucose dans des unités de stockage réparties dans tout l’organisme, afin d’ éviter que le glucose ne reste dans le sang avec les dommages qui en découlent, car sans insuline, nous serions morts Les personnes qui ne peuvent pas en produire (diabète type 1) sont dans l’obligation de s’en injecter plusieurs fois par jour pour compenser ce que le pancréas de secrète pas. L’insuline place donc l’excès de glucose dans plusieurs unités stockage, il en existe trois différents. L’unité de stockage numéro un est le foie , il est très pratique car tout le sang qui vient de l’intestin et qui transporte le nouveau glucose issu de la digestion transite par cet organe, notre foie transforme le glucose en glycogène pour le stocker. Le glucose une fois transformé en glycogène, ne cause aucun dégât. Le foie peut stocker environ 100 g de glucose sous forme de glycogène. Notre organise a besoin pour assouvir ses besoins énergétiques de 200 g de glucose quotidien.
La deuxième unité de stockage, ce sont nos muscles. Les muscles d’un adulte de 70 kg peuvent contenir environ 400 g de glucose sous forme de glycogène. Le foie et les muscles sont des unités de stockage efficaces mais assez vite saturées. À partir du moment où l’insuline a stocké tout le glucose possible dans notre foie et dans nos muscles, l’excédent est transformé en graisse et stocké dans nos réserves. C’est un mécanisme qui explique pourquoi nous prenons du poids.
Le fructose, lui ne peut être transformé en glycogène, il ne peut être stocké que sous forme de graisse, raison de plus, d’écarter les aliments sucrés qui contiennent du fructose et prendre plutôt des aliments salés qui contiennent de l’amidon, mais pas de fructose.
Lorsqu’il n’y a plus de réserve de glycogène, le corps va se mettre à puiser l’énergie dans nos réserves de graisse. Nous passons du mode combustion de sucre au mode combustion de graisse et nous perdons du poids mais ce phénomène n’est en mesure de se produire que lorsque notre taux d’insuline est bas, car l’insuline empêche l’organisme de brûler les graisses. Nous ne pouvons brûler aucune graisse tant que notre taux d’insuline n’est pas redescendu. Lorsque notre glycémie est stable, (donc par ricochet notre taux d’insuline) nous perdons du poids.
Les effets à court terme des pics de glucose: Sensation constante de faim, fringales, fatigue chronique, sommeil agité, rhumes et complications de la COVID-19, difficulté à gérer le diabète gestationnel, bouffées de chaleur et sueurs nocturnes, migraines, troubles de mémoire et des fonctions collectives, difficulté à gérer le diabète de type1
Les effets à long terme des pics de glucose: Acné et autres problèmes de peau, vieillissement et arthrite, maladie Alzheimer et démence, risque de cancer, épisodes dépressifs, troubles intestinaux, maladies cardiaques, infertilité et syndrome des ovaires polykystiques, résistance à l’insuline et diabète de type 2, stéatose hépatique non alcoolique, rides et cataracte.
Comment lisser la courbe de notre glycémie?
Conseil numéro un : manger vos aliments dans le bon ordre. Lorsque nous mangeons les aliments, dans le bon ordre, nous réduisons le pic de glucose global de 73 % et le pic d’insuline associé de 48%. Il faut d’abord manger les légumes, ensuite les protéines et les graisses, et enfin en dernier les féculents et les sucres. Les fibres vont ralentir la vidange gastrique. Elles tapissent l’intestin grêle d’un gel visqueux qui freine le passage du glucose dans le sang. Les fruits peuvent être mangés en fin de repas. Aucune preuve n’est jamais venue confirmer qu’ils fermentaient dans l’estomac.
Conseil numéro deux: ajouter des fibres Ajoutez des légumes en entrée de tous vos repas et mangez des fibres. Jessie Inchauspé classe les légumineuses et les pois dans la catégorie « fibres » et non dans la catégorie « féculents ». Si vous cuisinez des légumes, pensez en réserver une petite partie pour le lendemain. Si vous n’êtes pas sûre de pouvoir commander des légumes en entrée au restaurant, mangez-en avant de sortir.
Conseil numéro trois : Cessez de compter les calories. Savez-vous comment l’on mesure le nombre de calories contenues dans un beignet par exemple ? et bien il faut tout d’abord déshydrater ce beignet le placer dans un récipient fermé le plonger dans un bain-marie puis mettre le feu et mesurer la hausse de température de l’eau du bain-marie. Il faut ensuite multiplier ce chiffre par la quantité d’eau du bain-marie capacité énergétique de l’eau pour obtenir le nombre de calories contenues dans ce beignet. Les calories mesurent, la chaleur produite, rien de plus. Toutes les calories ne se valent pas, si vous prenez un petit déjeuner avec 114 calories de céréales Spécial Kellogg’s votre glycémie va jouer aux montagnes russes et déclencher les envies de sucre toute la journée alors que cela ne sera pas le cas avec un petit déjeuner comportant le même nombre de calories mais avec des œufs et du pain.
Conseil numéro quatre : lissez la courbe de votre petit déjeuner Les études montrent qu’après un petit déjeuner qui provoque un gros pic de glucose, la faim revient plus rapidement et la glycémie reste déréglée toute la journée à l’inverse, si nous prenons un petit déjeuner qui lisse notre glycémie notre déjeuner et notre dîner s’en trouverons stabilisés. Le meilleur moyen de lisser les courbes de notre glycémie est de prendre un petit déjeuner salé avec des protéines et des matières grasses. Vous pouvez aussi rajouter des fibres en gardant les restes de légumes de votre dîner de la veille.
Conseil numéro cinq : mangez n’importe quel type de sucre, ils se valent tous. Il faut s’intéresser aux molécules et non au calories. Au niveau moléculaire, il n’y a aucune différence entre le sucre de table et le miel. Tous les sucres provoquent des pics de glucose et de fructose. Puisque tous les sucres se valent choisissez celui que vous préférez et savourer-le avec modération à la fin d’un repas avec des fibres. Privilégiez le plus possible, les fruits bien moins caloriques que le sucre. Attention, les édulcorants font grimper en flèche notre taux d’insuline. Pour info, la moitié d’une myrtille contient la même quantité d’antioxydants qu’une cuillère à café de miel.
Conseil numéro six : choisissez un dessert, plutôt qu’un goûter sucré Mieux vaut prendre un dessert qu’un goûter sur un estomac vide. En mangeant le sucré après le repas, nous atténuons le pic de glucose.
Conseil numéro sept : buvez du vinaigre avant de manger Boire un grand verre d’eau avec une cuillère à soupe de vinaigre quelques minutes avant de manger du sucré permet de lisser les pics de glucose et d’insuline (de 8 à 30 %). L’acide acétique ne se contente pas de réduire la quantité d’insuline dans le sang, il a également un formidable impact sur notre ADN. Il lui dit de se reprogrammer pour que nos mitocondries brûlent d’avantage de graisses. Le plus simple est de rajouter du vinaigre à votre assaisonnement de légumes en entrée de tous vos repas.
Conseil numéro huit : après le repas bougez ! Quand nous sollicitons nos muscles (dans les 70 minutes, après avoir mangé) nous lissons la courbe de notre glycémie. Les muscles utiliseront l’excès de glucose au fur et à mesure que celui-ci passera dans le sang, ce qui aura pour effet d’atténuer le pic de glycémie. l’idéal serait de faire 10 à 20 minutes de marche après les repas (ou 10 minutes de musculation,), cela atténue le pic de glucose jusqu’à 30 % mais aussi la taille des piques au cours des 24 heures suivantes.
Conseil numéro neuf : si vous devez grignoter, optez pour le salé
par exemple: un œuf, du fromage, un yaourt grec, une poignée de noix, des carottes, du céleri, du concombre.
Conseil numéro dix : habillez vos glucides ! Lorsque vous mangez des glucides, prenez l’habitude d’ajouter des fibres, des protéines ou des matières grasses.
Les protéines sont de grosses molécules, constituées d’assemblages spécifiques de 20 molécules nommées « acides aminés». C’est comme un alphabet, qui permet des combinaisons innombrables. Il existe des milliards de protéines différentes. Elles ont un rôle actif dans pratiquement tous les processus des organismes vivants. Toutes les cellules végétales ou animales en produisent, avec les informations contenues dans leur génome. Les recherches de Joël Sternheimer ont montré comment associer une note de musique à chaque acide aminé. Chaque protéine ayant une combinaison originale, on peut donc lui associer une mélodie particulière : sa protéodie. Les observations jusqu’ici réalisées indiquent que les organismes vivants sont capables de reconnaître ces ondes sonores spécifiques. Nous savons aussi comment composer des protéodies en opposition de phase, qui ont un effet inverse (inhibition). L’expérience montre que la perception de ces deux types de protéodies peut stimuler ou inhiber la synthèse de tout type de protéine, de manière spécifique. Si elles sont bien choisies, les protéodies permettent ainsi de réguler, en cas de besoin, les processus biologiques dans lesquels des protéines sont impliquées. L’organisme concerné doit cependant y trouver un avantage : il conserve une part de libre-arbitre. Pour obtenir les effets recherchés, il est souvent nécessaire d’associer plusieurs protéodies, sélectionnées selon leurs fonctionnalités. Les ingénieurs de Genodics sont experts en ce domaine. Applications des protéodies Par l’utilisation de ces séries de sons harmonisés, directement accordés aux acides aminés dont la séquence compose les protéines (protéodies), il est possible de stimuler ou d’inhiber la synthèse de tout type de protéine, de manière spécifique. La société Genodics développe et applique cette nouvelle approche du vivant, et vous permet d’en bénéficier dans votre domaine. Tous les processus biologiques sont potentiellement concernés par cette innovation, qui ne nécessite que très peu de consommables et permet au contraire d’optimiser la consommation des intrants traditionnels (engrais, produits de traitements sanitaires, eau, énergie…). Effets généraux du « Procédé génodique » sur les végétaux : Régulation des processus de croissance (germination, floraison, fructification) Prévention de maladies (bactériennes, virales, fongiques) Stimulation des défenses naturelles (production des molécules au niveau cellulaire) Stimulation de la résistance aux stress (chimique, hydrique, chaleur, gel…) Limitation et économie d’intrants (engrais, traitements sanitaires, eau, énergie…) Amélioration qualitative des fruits (structure, arômes, goût et conservation) En savoir plus sur le décodage des protéodies Les cellules de tous les organismes vivants produisent en permanence les protéines dont elles ont besoin, à partir de leurs réserves en acides aminés. Elles ont pour cela des molécules particulières, les «ribosomes». Ceux-ci assemblent les acides aminés dans l’ordre spécifique que leur donnent les ARN messagers (qui proviennent du génome inclus dans le noyau de chaque cellule). La succession des accrochages d’acides aminés dans un ribosome se traduit par l’émission d’une suite de fréquences caractéristique de la protéine correspondante. Une équation de physique quantique permet de calculer ces fréquences. Elles sont très élevées, inaudibles pour l’oreille humaine. Cependant, leur transposition dans la gamme audible, selon les lois de l’harmonie musicale, permet d’en avoir une représentation exacte. Celle-ci est capable d’interagir avec le processus de leur émission (c’est une régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines correspondantes). La diffusion de protéodies pour réguler la biosynthèse des protéines correspondantes requiert des précautions, notamment en termes de puissance sonore et de durée d’exposition. Il ne s’agit pas de ‘musique’ au sens cognitif du terme, comme on peut s’en assurer en comparant les mémorisations que l’on peut en faire avec les originaux. Leurs effets sont potentiellement beaucoup plus puissants. https://www.genodics.com/les-proteodies/https://www.youtube.com/watch?v=doEwTzuWZXghttps://www.youtube.com/watch?v=CekgK1PE2MQ
Le nigari est extrait du sel de mer, on l’obtient en récupérant le filet de liquide qui s’écoule d’un tas de sel marin humidifié. Il est principalement composé de chlorure de magnésium et possède des oligo-éléments de l’eau de mer (au contraire du chlorure de magnésium vendu en pharmacie). On trouve du nigari dans tout les magasins bio. Une fois le sachet ouvert il faut conserver les paillettes dans un récipient fermé hermétiquement pour qu’elles ne fondent pas à cause de l’humidité.
Utilisation: On l’utilise traditionnellement pour de nombreux troubles comme la fatigue, la constipation, l’acné, les infections diverses (grippe), la déminéralisation, la désintoxication du corps…
Pour faire une cure de magnésium: mettre 1 cuillère à soupe rase de nigari (20g de paillettes) dans une bouteille d’1 litre ou 75cl d’eau (de préférence une bouteille en verre) il faut en prendre en petites quantités au début pour ne pas avoir la diarrhée (1/2 verre /jour) et faire des cures d’un mois ou deux (la posologie est à trouver selon la tolérance du transit, la prise ne doit pas provoquer de diarrhée forte ou chronique).
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Pour faire une purge avant un jeûne:
2 cuillères à soupe de nigari dans 1/2 litre d’eau
Buvez le demi-litre de purgatif d’une traite ou dans la 1/2h. Faites des pauses entre les verres et détendez-vous : le goût très spécial de cette « boisson » est parfois difficile à supporter. Ajoutez du jus de citron dans la bouteille, mettez la au frigo, le goût amer/salé en sera atténué. Buvez beaucoup d’eau après cette purge : les sels de nigari ou le chlorure de magnésium accroissent le travail des reins.
4 à 6 cuillères à soupe de sel de nigari dans un bain bien chaud
Le sel de Nigari permet de coaguler le lait de soja pour faire du tofu.
Les précautions d’emploi du Chlorure de magnésium
Fortement déconseillé, même interditaux hémophiles (le magnésium est un anti-thrombotique c’est-à-dire il est anticoagulant, donc fluidifiant sanguin), aux insuffisances rénales (si calculs également) car le magnésium est en grande partie évacué par les urines mais ça reste un minéral apporté en grande quantité, aux hypertendus ou ceux sous régime sans sel
Consommé trop longtemps ou en surdosage, le chlorure de magnésium et le sel de Nigari provoque des diarrhées avec pour conséquence des risques de déshydratation. Il est donc dans ce cas préférable de diminuer les doses ou d’espacer les prises, de consulter votre médecin traitant ou de revoir votre prescripteur. Entre deux cures il faut à minima laisser une semaine de pause.
Voici 2 petites phrases toutes simples qui m’accompagnent pour commencer mes méditations:
« J’inspire, je suis en vie J’expire, je souris à la vie »
Phrases basées sur l’enseignement de Thich Nhat Hahn:
J’inspire, je calme mon corps
J’expire et je souris
In-spiritus ex-sipritus
Origine du mot inspiration: de in- « dans » + spirare « respirer » (spirit).
Vient du latin tardif inspirationem (nominatif inspiratio), nom d’action du participe passé du latin inspirare « souffler dans, respirer sur », au sens figuré « inspirer, exciter, enflammer »,Aux environs de 1300 le mot signifiait, « influence de Dieu ou d’un dieu », en particulier celle sous laquelle les livres saints ont été écrits, « mouvements de l’âme dus à une influence divine »
– la préparation au jeûne : Pour préparer son organisme à jeûner, il est préférable de commencer par une descente alimentaire en diminuant les protéines (oeufs, poisson, viande) les céréales et les produits laitiers et par exemple les deux derniers jours faire une journée en ne mangeant que de fruits (bananes, pommes etc).
Cette période permet aussi de se préparer mentalement pour être bien sûr de soi et déterminé à tenir ses engagements
En ce qui concerne la purge avant le jeûne les proportions recommandées sont de 2 cuillères à soupe de nigari dans 1/2l d’eau normalement il faudrait boire toute cette quantité mais je pense qu’il faut adapter en fonction des réactions intestinales de chacun. En ce qui me concerne, je n’ai pris que deux verres et cela m’a bien suffit, peut-être même qu’un seul verre aurait suffit. Il faut juste se libérer le plus possible les intestins avant de démarrer de jeûne. Vous pouvez commencer à prendre un peu de nigari les jours qui précèdent, juste pour aider le transit
– la période du jeûne : Quand on débute un jeûne, l’organisme va consommer en premier les réserves de sucre disponibles dans le sang, puis il va consommer le glycogène, (réserve de sucre dans le foie et les muscles) et enfin il commence à brûler ses propres graisses . Et comme les graisses contiennent des déchets le corps va devoir les éliminer. Les 3 premiers jours sont en général les plus difficiles, mais si vous passez ce cap, la faim disparaît et on a souvent une très belle énergie sans désir de manger. A certains moments vous aurez un peu froid donc une bouillotte sera la bienvenue.
Quelques boissons à prendre pendant le jeûne:
de l’eau sous toutes ses formes, des tisanes qui aident le travail du foie et des reins, du thé, une cuillère à soupe de vinaigre de cidre dans un verre d’eau.
Dubouillon de légumes: prendre une carotte, un petit poireau, ail, feuille de laurier, clou de girofle cuire et ne boire que le jus.
La tisane chocolat/cannelle: Une petite tisane sympa à prendre à l’heure du goûter: 1/2 cuillère de chocolat en poudre et un peu de cannelle, ne pas prendre la poudre qui reste au fond .
Le jus des braves : Un très bon jus à faire à préparer à l’avance: Le « jus des braves » (à faire à l’extracteur), 4 citrons (on garde la peau, s’il est bio), 100 g de gingembre racine, 50 g de curcuma racine, un peu de poivre. On en prend un fond de verre et on rajoute beaucoup d’eau chaude ou tiède.
Un petit truc qui m’aide bien, ce sont les pastilles à la menthe. Cela me coupe la faim, il y a un peu de sucre mais ce n’est pas grand chose et certaines sont sans sucre , moi je prend les Fisherman’s friend j’en prend 1/2.
– la sortie de jeûne : la reprise alimentaire consiste à reprendre l’alimentation de façon progressive. Je vous conseille de commencer par une banane (le goût est décuplé) ou par une pomme que vous allez mâcher longuement pour faire une vraie bouillie avant de l’avaler)
Jeûner c’est aussi changer ses habitudes de consommation : jeûner de ses addictions, télévision, relations, téléphone portable etc.
Voici quelques livres importants pdf sur le jeûne et les jus frais